Mon histoire de photographe
Mes débuts en photo remontent au 2e secondaire (1978) où j’étais curieux de savoir comment on pouvait développer une image sur du papier. C’est là que j’ai
appris à faire de la chambre noire et développer du noir et blanc. Ma 1ère caméra, en 1976 ressemblait à celle-ci. Je l’avais empruntée d’un ami. Ça utilisait une cartouche de film 126 dont il fallait casser le moule en plastique pour pouvoir accéder au film et le développer. Et quelle technologie au niveau du flash. Je pouvais prendre 4 photos avec un seul flash-cube ! |
Puis 2 ans plus tard (1980), avec le budget très limité d’un garçon de 14 ans, je me suis acheté mon premier réflex.
Vous souvenez-vous des magasins Direct Film ? C’est là que j’ai acheté mon réflex Diramic, qui était en fait une caméra russe du nom de Zenith. Un vrai tank à l’épreuve de tous les chocs. Remarquez comment ils ont été subtils pour renommer le modèle de caméra. Quelle belle étiquette discrète ! Une caméra complètement manuelle où le posemètre était une aiguille qu’on voyait dans le viseur et où, en modifiant vitesse et diaphragme, il fallait déplacer une petite cuillère pour la concorder avec la position de l’aiguille. |
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Puis au CEGEP, j’ai acquis un Minolta SRT-200.
C’était un énorme changement pour moi. Une caméra de très meilleure qualité. Et quel beau flash (budget limité oblige…)
C’était un énorme changement pour moi. Une caméra de très meilleure qualité. Et quel beau flash (budget limité oblige…)
Et ensuite, ce fût l’achat d’un Nikon F70 que j’ai utilisé jusqu’en 2001.
Je ne me rappelle plus de l’année de son achat Mais là encore, je venais d’améliorer mon sort avec un appareil plus ergonomique et avec plusieurs modes de prises de vues (Priorité vitesse et ouverture, et même des modes préprogrammés) |
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Et puis, mon premier appareil numérique, en 2002, le Canon S1IS.
J’avais décidé de ne pas acheter un réflex car il arrivait trop souvent que je ne trainais pas mon Nikon avec moi car c’était trop encombrant à transporter en raquette, en ski de fond ou ailleurs. Je voulais un appareil avec plus de pixels et un meilleur zoom optique qu’un simple compact, mais qui pouvait être aussi facilement transportable.
Et c’est à ce moment que je me suis mis à faire de la photo sous-marine alors que je plongeais depuis plus de 6 ans déjà.
J’avais décidé de ne pas acheter un réflex car il arrivait trop souvent que je ne trainais pas mon Nikon avec moi car c’était trop encombrant à transporter en raquette, en ski de fond ou ailleurs. Je voulais un appareil avec plus de pixels et un meilleur zoom optique qu’un simple compact, mais qui pouvait être aussi facilement transportable.
Et c’est à ce moment que je me suis mis à faire de la photo sous-marine alors que je plongeais depuis plus de 6 ans déjà.
À cela s’est ajouté, en 2005, un petit compact dont l’écran était plus grand et qui facilitait de beaucoup les prises de vues sous-marines.
Puis, mon S1IS est mort en 2009. Il ne me restait que mon compact qui faisait l’affaire pour le genre de photos que je faisais désormais depuis de nombreuses années. En fait, depuis le moment où j’ai cessé de faire de la chambre noire (2001), mon intérêt pour la photo a diminué de beaucoup et je me suis simplement mis à faire de la photo pour me garder des souvenirs. |
À la naissance de mes enfants, je me suis remis à faire de la photo. À cause de la lenteur de réaction de mon compact, il m’arrivait souvent de manquer le moment à prendre. Vous savez, ce moment qui ne revient jamais si on n’a pas été assez vite. Et en plus, n’ayant plus le contrôle sur la profondeur de champ, je n’étais pas satisfait des portraits que je faisais de mes enfants. Ça m’a quand même pris 4 ans pour réagir… Il est pas vite le gars.
Et en déc 2011, je me suis payé un cadeau, un Nikon D7000. Très bel appareil qui contient beaucoup plus de fonctions que ce dont j’étais habitué. Il m'a donc fallu trouver du temps pour tout d’abord comprendre les nombreuses fonctions de mon appareil, et puis apprendre les logiciels Lightroom et Photoshop Elements. Tout ça en continuant de faire de la moto et de la plongée, et en ne négligeant pas trop ma famille. Un véritable tour de force ! J’aimerais joindre un club photo mais le temps me manque. J’y repenserai le jour où mes enfants auront quitté la maison, soit vers 2027… ! hahaha ! |